Ah et sinon, le gag, si on peut dire…
Aéroport d'Orly, vol EasyJet, au départ, aucun contrôle de ce « Pass Sanitaire », au retour à Toulouse, oui.
Mais le plus cocasse, c'est la police qui vient contrôler les clients du restaurant où nous déjeunions.
Pas mieux à faire la protection publique ?
Nan parce que de toutes façons, positif ou non, si ils tiennent debout, les soignants vont bosser.
Puis maintenant, cas contact à l'école, c'est comme quand tu t'autorisais toi même à sortir…
… tu certifies sur l'honneur que ton gamin tu lui as fait des tests et qu'ils sont négatif.
Alors que bon… si on arrêtait l'hypocrisie, que le vaccination soit obligatoire (et des vaccins obligatoires ça date pas d'hier…) et que la campagne de vaccination soit géré par la CPAM…
On aurait pas besoin de « Pass Sanitaire ».
Et comprenons la défiance, car donc vacciné (trois doses), auto-testé (puisque « cas contact ») négatif, ça ne change rien.
…
@gegeweb Le pass sanitaire en vrai est plutôt un bon compromis social. Et il suit totalement la stratégie du gouvernement qui n’est pas celle du « 0 covid » mais celle du « vivons avec sans que ça casse trop les bonbons et faisant en sorte que l’économie tourne »
Le maître mot c’est l’économie, pas la santé
@Roland
Pass sanitaire qui va (fait pas se leurer) en pass vaccinal.
Qui est de fait une obligation qui ne dit pas son nom.
Bref…
Je précise que je suis un vacciné volontaire. Mais je commence quand même à avoir des doutes, vu que j'ai droit à la torture nasale quand même.
Ce truc est une connerie.
En tout cas tu rentre comme dans un moulin (ou presque) dans un aéroport ou avion sans le présenter, sans qu'on te le demande.
Et si on te le demande, faudrait p'tet pas attendre l'embarquement…
@Roland
> Le maître mot c’est l’économie, pas la santé
Le service publique hospitalier et de santé ne serait pas en tension sinon, hein.
Et il l'était déjà avant l'épidémie de COVID.
Et la destruction à commencé avec les soi-disant socialistes. (appelons les socio-démocrates désormais)
Vous savez les gérants loyaux et fidèles des affaires du capitalisme.
C'est pas moi qui le dit, c'est un certain Léon Blum, il y a bientôt un siècle…