🕹️ #jeux
OH LÀ LÀ.
Grâce à @Yahiko, je suis en train de me prendre une des plus grosses baffes vidéoludiques de ces dernières années.
"What remains of Edith Finch"
C'est une ballade narrative.
C'est TELLEMENT bien fait. Cette maison étrange pleine de souvenir qui fourmille de détails. La musique. La narration. L'histoire, émouvante. Les drames qu'on devine.
Et le jeu qui vous prend par surprise 😮
Je continue ce soir.
(Ça marche dans Wine64, mais carte graphique musclée recommandée.)
@sebsauvage Pareil, j'aimerais tellement pouvoir oublier ce jeu pour le découvrir une nouvelle fois. Idem pour Firewatch dans une moindre mesure.
Mais quel plaisir d'explorer cette maison biscornue, de découvrir ces destins tragiques mais attachants. Une merveille de narration et d'ambiance. J'estime que c'est un jeu important, une date dans l'histoire du jeu vidéo.
Je pense que dès que je peux récupérer une carte graphique un peu plus costaude, je le refais.
@sebsauvage Et encore plus que dans d'autres jeux du genre, What Remains of Edith Finch amène une implication bien plus grande, c'est ça qui fait tout.
Finalement un Dear Esther, Gone Home, Tacoma (pour ce que j'y ai joué), The Vanishing of Ethan Carter ou même Firewatch (même s'il y a un peu plus d'interactions), le joueur est relativement passif. Là, c'est tout le contraire. C'est une histoire qui n'aurait pas autant d'inpact sans le prisme du jeu vidéo.