"Il n'est donc pas besoin ici de ces remèdes violents par lesquels déjà nous avons passé : il ne s'agit plus de lutter contre toi-même, de te gourmander ou de t'aiguillonner vivement ;
il ne faut que ces soins qui viennent en dernier, *qu'avoir foi en toi et te croire engagé dans la bonne voie*, sans te laisser distraire par les traces multiples de ceux qui la traversent pour se perdre dans mille autres sens, ou de quelques égarés qui la côtoient d'un peu plus près."
http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/seneque/tranquillite.htm