Sans parler des coopératives, services publiques etc qui pour diverses raisons font ce choix.
Ça serait bien que politiquement la question de «a qui achète t-on» du numérique (SaaS, logiciel) soit posées systématiquement comme pour les énergies ou les produits issue de conditions de travail mauvaises.
Parce-que bon, faire du libre mais sous-traiter l’internationalisation, la localisation et le support au lance pierre c'est juste non.
A titre personnel je suis positionné et pense au logiciel libre qui respecte ces usagers et ne les enfermes pas.
Mais il faut aussi que les structures productrices de logiciel respectent leurs travailleurs et prestataires de bout en bout, à ce titre je préconise les coopératives mais c'est mon opinion.