Ha oui, quand même !
Ca fait un moment que j'ai quitté Facebook, mais je n'avais pas suivi qu'il fallait payé pour être vu/lu par ... ses abonné⋅es !
http://maliki.com/strips/tribune-pour-un-roman/
(merci à Maliki pour cet article très éclairant !)
@lareinedeselfes @pyg Anéfé™ c'est désolant…
cc @bookynette
@pyg je lui est parlé de framasoft mais y avec 80k abonnés sur fb je comprend qu'elle veuille pas partir
@pyg C'est qui déjà ce Facebook dont j'entend parler sans arrêt depuis plusieurs années 😆
RSS POWAAAAA !!!!
Le reste de l'article met aussi pas mal en rogne contre le monde de l'édition.
-_-
Et encore, elle obtient des à-valoirs, ce qui devient carrément exceptionnel.
Il faut encore ajouter à tout cela des délais de paiement des droits délirants : nous sommes une variable d’ajustement pour la gestion de la trésorerie, payés souvent avec plusieurs mois, voire plus d’un an de retard et parfois carrément pas payés du tout.
Et je plussoie sa conclusion, l’essentiel est de toucher ses lecteurs. Ce qui devrait amener à publier sous licence libre ;)
J'ai aucune idée de ce que représente 4000€ d'avance pour ce genre de livre, mais c'est clairement pas assez pour vivre pendant l'écriture. C'est délirant.
@Ambraven @pyg
Surtout qu’à l’origine, ce n’est pas remboursable sur les droits, mais ça l’est devenu. Cela minimise les risques pour l’éditeur et fragilise encore plus l’auteur.
Et dire que certains pensent que la protection sociale ne sert à rien… Tout cela est possible car légalement nous ne sommes que des fournisseurs, non protégés par le code du travail comme le sont des salariés.
@pyg c'est le cas depuis super longtemps. Dans mes activités de CM du dimanche, je dis toujours à mes clients de jamais investir dans leur communauté facebook à cause de ça... :x
super article @pyg
pour fb ,c'est surtout pour que ça paraisse en premier,dans le flux de tes abonnés ,quand j'y étais c'était déjà ça ou ils commençaient ... Mais j'ai oublié comment c'était là bas 🙂
ce qui m'a le plus interpellé c'est le comportement des éditeurs .Dont c'est le boulot de mettre en avant leurs auteurs quel qu'ils soient
"Un gros éditeur sort des dizaines de titres par mois. Parfois plus. Sur cette pléthore de titres, il va décider de miser gros sur un ou deux auteurs ..."