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Athenenoctua<a href="https://mastodon.gougere.fr/tags/OpenData" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#OpenData</a> <a href="https://mastodon.gougere.fr/tags/OpenStreetMap" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#OpenStreetMap</a> 3/33e carte : les permis de construire d'origine des stations de métro sur le territoire lyonnais, eux aussi difficiles à trouver : <a href="https://www.archives-lyon.fr/documents-remarquables/permis-de-construire-des-stations-de-metro-lyon" rel="nofollow noopener noreferrer" translate="no" target="_blank">https://www.archives-lyon.fr/documents-remarquables/permis-de-construire-des-stations-de-metro-lyon</a> Les cartes sont publiées sous <a href="https://mastodon.gougere.fr/tags/LicenceOuverte" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#LicenceOuverte</a> et les données sont téléchargeables en plusieurs formats.Créées par notre collègue Ivan Briel 👏, ces cartes vont s'enrichir : <a href="https://recherches.archives-lyon.fr/page/cartes-interactives" rel="nofollow noopener noreferrer" translate="no" target="_blank">https://recherches.archives-lyon.fr/page/cartes-interactives</a> A tester lors du prochain <a href="https://mastodon.gougere.fr/tags/editathon" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#editathon</a> le 5 juin pour cartographier les édifices disparus 😉 <a href="https://mastodon.gougere.fr/tags/wiki" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#wiki</a> <a href="https://wikis.world/@wikipedia_fr" class="u-url mention" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">@wikipedia_fr</a>

Pierre-Yves BeaudouinJ'ai publié mon support de formation sur le droit d'auteur et les licences ouvertes. Il évoluera sans doute car plusieurs points ne sont pas bien expliqués <a href="https://doi.org/10.5281/zenodo.13881932" rel="nofollow noopener noreferrer" translate="no" target="_blank">https://doi.org/10.5281/zenodo.13881932</a> <a href="https://mamot.fr/tags/DroitDauteur" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#DroitDauteur</a> <a href="https://mamot.fr/tags/LicenceLibre" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#LicenceLibre</a> <a href="https://mamot.fr/tags/LicenceOuverte" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#LicenceOuverte</a> <a href="https://mamot.fr/tags/CreativeCommons" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#CreativeCommons</a> <a href="https://mamot.fr/tags/DomainePublic" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#DomainePublic</a>

Pierre-Yves BeaudouinQuelqu'un sait pourquoi a été créé la Licence ouverte d'Etalab ? Est-ce juste du nationalisme ? ou y'a des raisons juridiques ? <a href="https://mamot.fr/tags/droitdauteur" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#droitdauteur</a> <a href="https://mamot.fr/tags/licenceouverte" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#licenceouverte</a> <a href="https://mamot.fr/tags/Etalab" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#Etalab</a>

dana hilliotPour en finir avec cette histoire de licence libre, ouverte ou copyleft ou ce que vous voudrez (je fatigue là), j'ai une question à la communauté/réseau :Auriez-vous connaissance d'une étude qui ait exploré les systèmes de pensée politique à partir desquels se sont confrontées, depuis trois ou quatre décennies maintenant, les tenants de ces "licences libres" ?Il me semble qu'à l'origine, aux États-Unis, l'impulsion critique vis-à-vis du système des droits d'auteur vienne plutôt des milieux anarchistes, qu'ensuite (assez logiquement et de manière parfois conflictuelle) se soient greffés là-dessus des critiques et des constructions intellectuelles venues du marxisme. Avant qu'avec les Creative Commons notamment, au début des années 2000, les licences deviennent, par endroit, un outil purement néolibéral (c'est-à-dire utilisées comme un moyen pour le business, et non plus comme une fin "philosophique" ou comme subversion du droit d'auteur).Si un tel livre n'existe pas (mais ça m'étonnerait qu'il n'existe pas), ça ferait un beau sujet de thèse en sociologie critique ! (rassurez-vous, je ne m'y lancerai pas, j'ai d'autres chats à fouetter)<a href="https://climatejustice.social/tags/libre" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#libre</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/licenceOuverte" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#licenceOuverte</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/copyleft" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#copyleft</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/droitdauteur" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#droitdauteur</a>

lautfille (Streams) <a href="https://climatejustice.social/@danahilliot" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank"></a> <a href="https://climatejustice.social/@danahilliot" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">danahilliot@climatejustice.social</a> a écrit <a href="https://climatejustice.social/@danahilliot/111726943510148699" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">publication</a> qui suit Tue, 09 Jan 2024 17:31:03 +0100 MISE À DISPOSITION DE MES 6 PREMIERS LIVRES SOUS LICENCE LIBRE (qu'on se le dise !!) (J'ai l'impression de faire mon coming out là maintenant 😅 ) Ça se passe ici : <a href="https://outsiderland.com/outsiderland/" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">https://outsiderland.com/outsiderland/</a> En mettant ces livres à disposition des lecteurs, en les re-publiant sous une licence “ouverte”, je suis en proie à des sentiments partagés. Une partie de moi éprouve une certaine peine à renoncer aux mondes littéraires traditionnels, celui des éditeurs et des libraires, et la notoriété (?) susceptible de les accompagner. Mais une autre partie jouit d'un sincère soulagement, et même d'une sorte de joie, à l’idée d’écrire désormais tout à fait à ma guise, sans aucunement me soucier du jugement des éditeurs. Et, comme répondait John Langshaw Austin, un philosophe que j’ai beaucoup aimé naguère, à un journaliste qui lui demandait pourquoi il publiait si peu : “Il y a bien assez de livres comme ça !” Trois de ces livres (Un Débarras, Sauver sa peau et Alpestres), cependant, ont été publiés (entre 2014 et 2016) : chez L’Orpailleur, une remarquable petite maison d’édition tenue avec talent par mon ami Christophe Havot (lui-même remarquable écrivain) : il reste encore des exemplaires de ces livres, et il m’a autorisé à diffuser librement les versions numériques : merci à lui ! L’Émancipation des domestiques, un recueil de nouvelles, a été publié lui aussi, mais chez un éditeur dont le sérieux laissait à désirer. J’ai donc corrigé et amélioré le texte (avec l’aide de mes amis, notamment Grégory Haleux) et en propose aujourd’hui une version beaucoup moins fautive. Les deux derniers n’ont pas suscité l’enthousiasme des éditeurs, malgré le soin que j’ai pris à les choisir et à leur écrire personnellement. Sans doute, comme il est d’usage quand on est débordé par tous ces tapuscrits reçus, se contente-t-on de lire les trois premières pages. Je n’écris pas des livres qui se dévoilent au bout de trois pages. Je n’écris pas des livres pour intéresser les éditeurs. L’économie de mes textes relève d’une nécessité et d’une cohérence qui leur est propre, ce qui n’a rien d’original en soi. Tant pis pour eux et tant pis pour moi. Moldanau est sans doute mon texte le plus littéraire et le plus ambitieux. J’y ai consacré trois ans de ma vie. Je suis persuadé que s’il avait été composé dans une autre langue (au hasard : l’allemand), et à une autre époque (au hasard, les années 60 et 70 du siècle dernier), il aurait suscité quelque attention. Mais je crois que les mondes littéraires français ont d’autres chats à fouetter que ces ouvrages alambiqués, ces pseudo-romans qui s’interrogent sur la littérature elle-même, l’être et le néant, et menacent de détruire le récit qu’ils promettaient (dans les trois premières pages donc !). Peu importe. Comme bien des écrivains, je porte avec moi un monde littéraire imaginaire dans lequel je converse avec des pairs qui ont emprunté avant moi les sentiers que je fraye à mon tour. Et cela me suffit. Il m’a fallu seulement trois mois pour rédiger Perturbations sur les hauts-plateaux, une sorte de polar pré-apocalyptique, qui met en scène un détective privé dans le Cantal en 2035. J’avais bon espoir que cet ouvrage délibérément “grand public” soit accepté dans les maisons d’éditions spécialisées dans les littératures de genre. J’avais tort. Le style n’a pas grand chose en commun avec celui de mes précédents textes, mais on retrouve au fil des pages mes obsessions habituelles. Et surtout j’y ai mis beaucoup de mes spéculations sur la catastrophe climatique en cours, en essayant justement de composer un récit qui assume le monde à venir, d’une manière pour tout dire assez réaliste. De fait, en le relisant, je me rends compte que sous sa légèreté, le récit aborde des questions morales et politiques d’importance, quoique avec pas mal d’ironie. Voilà. Nous sommes en 2024. Je continuerai à écrire bien entendu – que pourrais-je faire d’autre ? Vous, lectrices et lecteurs, pourrez les lire si le cœur vous en dit, et surtout, partagez et faites circuler les versions numériques ! Ces textes procureront peut-être, qui sait, du plaisir à quelques esprits. (et s’ils vous ont plu, n’hésitez pas à m’écrire pour m’en faire part) <a href="https://climatejustice.social/tags/danahilliot" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#danahilliot</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/litterature" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#litterature</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/licenceouverte" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#licenceouverte</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/licencelibre" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#licencelibre</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/epubs" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#epubs</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/books" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#books</a> #<a class="" href="https://cirtensis.net/search?tag=livres" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">livres</a> #<a class="" href="https://cirtensis.net/search?tag=mastolivre" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">mastolivre</a> #<a class="" href="https://cirtensis.net/search?tag=%C3%A9dition" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">édition</a>

dana hilliotMISE À DISPOSITION DE MES 6 PREMIERS LIVRES SOUS LICENCE (pas vraiment) LIBRE (à ce qu'il paraît)(qu'on se le dise !!)(J'ai l'impression de faire mon coming out là maintenant 😅 )Ça se passe ici :<a href="https://outsiderland.com/outsiderland/" rel="nofollow noopener noreferrer" translate="no" target="_blank">https://outsiderland.com/outsiderland/</a>En mettant ces livres à disposition des lecteurs, en les re-publiant sous une licence “ouverte”, je suis en proie à des sentiments partagés.Une partie de moi éprouve une certaine peine à renoncer aux mondes littéraires traditionnels, celui des éditeurs et des libraires, et la notoriété (?) susceptible de les accompagner. Mais une autre partie jouit d'un sincère soulagement, et même d'une sorte de joie, à l’idée d’écrire désormais tout à fait à ma guise, sans aucunement me soucier du jugement des éditeurs. Et, comme répondait John Langshaw Austin, un philosophe que j’ai beaucoup aimé naguère, à un journaliste qui lui demandait pourquoi il publiait si peu : “Il y a bien assez de livres comme ça !”Trois de ces livres (Un Débarras, Sauver sa peau et Alpestres), cependant, ont été publiés (entre 2014 et 2016) : chez L’Orpailleur, une remarquable petite maison d’édition tenue avec talent par mon ami Christophe Havot (lui-même remarquable écrivain) : il reste encore des exemplaires de ces livres, et il m’a autorisé à diffuser librement les versions numériques : merci à lui !L’Émancipation des domestiques, un recueil de nouvelles, a été publié lui aussi, mais chez un éditeur dont le sérieux laissait à désirer. J’ai donc corrigé et amélioré le texte (avec l’aide de mes amis, notamment Grégory Haleux) et en propose aujourd’hui une version beaucoup moins fautive.Les deux derniers n’ont pas suscité l’enthousiasme des éditeurs, malgré le soin que j’ai pris à les choisir et à leur écrire personnellement. Sans doute, comme il est d’usage quand on est débordé par tous ces tapuscrits reçus, se contente-t-on de lire les trois premières pages. Je n’écris pas des livres qui se dévoilent au bout de trois pages. Je n’écris pas des livres pour intéresser les éditeurs. L’économie de mes textes relève d’une nécessité et d’une cohérence qui leur est propre, ce qui n’a rien d’original en soi. Tant pis pour eux et tant pis pour moi.Moldanau est sans doute mon texte le plus littéraire et le plus ambitieux. J’y ai consacré trois ans de ma vie. Je suis persuadé que s’il avait été composé dans une autre langue (au hasard : l’allemand), et à une autre époque (au hasard, les années 60 et 70 du siècle dernier), il aurait suscité quelque attention. Mais je crois que les mondes littéraires français ont d’autres chats à fouetter que ces ouvrages alambiqués, ces pseudo-romans qui s’interrogent sur la littérature elle-même, l’être et le néant, et menacent de détruire le récit qu’ils promettaient (dans les trois premières pages donc !). Peu importe. Comme bien des écrivains, je porte avec moi un monde littéraire imaginaire dans lequel je converse avec des pairs qui ont emprunté avant moi les sentiers que je fraye à mon tour. Et cela me suffit.Il m’a fallu seulement trois mois pour rédiger Perturbations sur les hauts-plateaux, une sorte de polar pré-apocalyptique, qui met en scène un détective privé dans le Cantal en 2035. J’avais bon espoir que cet ouvrage délibérément “grand public” soit accepté dans les maisons d’éditions spécialisées dans les littératures de genre. J’avais tort. Le style n’a pas grand chose en commun avec celui de mes précédents textes, mais on retrouve au fil des pages mes obsessions habituelles. Et surtout j’y ai mis beaucoup de mes spéculations sur la catastrophe climatique en cours, en essayant justement de composer un récit qui assume le monde à venir, d’une manière pour tout dire assez réaliste. De fait, en le relisant, je me rends compte que sous sa légèreté, le récit aborde des questions morales et politiques d’importance, quoique avec pas mal d’ironie.Voilà. Nous sommes en 2024. Je continuerai à écrire bien entendu – que pourrais-je faire d’autre ?Vous, lectrices et lecteurs, pourrez les lire si le cœur vous en dit, et surtout, partagez et faites circuler les versions numériques ! Ces textes procureront peut-être, qui sait, du plaisir à quelques esprits. (et s’ils vous ont plu, n’hésitez pas à m’écrire pour m’en faire part)<a href="https://climatejustice.social/tags/danahilliot" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#danahilliot</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/litterature" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#litterature</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/licenceouverte" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#licenceouverte</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/licencelibre" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#licencelibre</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/epubs" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#epubs</a> <a href="https://climatejustice.social/tags/books" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#books</a>

d'aïeux et d'ailleursRT <a href="https://wikis.world/@Wikimedia_Fr" class="u-url mention">@Wikimedia_Fr</a> "[🗓] Mardi 25 avril aura lieu la journée Culture et numérique organisée par @Wikimedia_Fr à @INHA_Fr 📰<a href="https://framapiaf.org/tags/opencontent" class="mention hashtag" rel="tag">#opencontent</a>, <a href="https://framapiaf.org/tags/licencelibre" class="mention hashtag" rel="tag">#licencelibre</a>, remise label culture libre, inauguration de l'observatoire Open content <a href="https://framapiaf.org/tags/WMFrGLAM" class="mention hashtag" rel="tag">#WMFrGLAM</a> 🎫 Informations et inscription : <a href="https://meta.m.wikimedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_Wikimedia_Culture_et_Num%C3%A9rique_2023" target="_blank" rel="nofollow noopener noreferrer" translate="no">https://meta.m.wikimedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_Wikimedia_Culture_et_Num%C3%A9rique_2023</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/GLAM" class="mention hashtag" rel="tag">#GLAM</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/culture" class="mention hashtag" rel="tag">#culture</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/patrimoine" class="mention hashtag" rel="tag">#patrimoine</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/domainepublic" class="mention hashtag" rel="tag">#domainepublic</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/licenceouverte" class="mention hashtag" rel="tag">#licenceouverte</a>

d'aïeux et d'ailleursRT <a href="https://piaille.fr/@SDD" class="u-url mention">@SDD</a> : Aux @ArchivesdeLyon , tout se dit avec un marque page, même le passage à la licence ouverte <a href="https://framapiaf.org/tags/archives" class="mention hashtag" rel="tag">#archives</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/Lyon" class="mention hashtag" rel="tag">#Lyon</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/OpenData" class="mention hashtag" rel="tag">#OpenData</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/licenceouverte" class="mention hashtag" rel="tag">#licenceouverte</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/GLAMarchives" class="mention hashtag" rel="tag">#GLAMarchives</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/opencontent" class="mention hashtag" rel="tag">#opencontent</a>

d'aïeux et d'ailleurs[<a href="https://framapiaf.org/tags/veille" class="mention hashtag" rel="tag">#veille</a>] Les @ArchivesdeLyon adoptent une licence de type <a href="https://framapiaf.org/tags/LicenceOuverte" class="mention hashtag" rel="tag">#LicenceOuverte</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/Etalab" class="mention hashtag" rel="tag">#Etalab</a> pour la <a href="https://framapiaf.org/tags/r%C3%A9utilisation" class="mention hashtag" rel="tag">#réutilisation</a> de leurs documents 👏 <a href="https://recherches.archives-lyon.fr/page/reproduire-et-reutiliser-des-documents" target="_blank" rel="nofollow noopener noreferrer" translate="no">https://recherches.archives-lyon.fr/page/reproduire-et-reutiliser-des-documents</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/openGlam" class="mention hashtag" rel="tag">#openGlam</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/GLAMarchives" class="mention hashtag" rel="tag">#GLAMarchives</a> @archivistodon@a.gup.pe

Gabriel MoreauÀ compter du1erjanvier 2021, toutes les données publiques (vecteur et ortho-images) de l’<a href="https://framapiaf.org/tags/IGN" class="mention hashtag" rel="tag">#IGN</a> seront libres et accessibles gratuitement - <a href="https://framapiaf.org/tags/OpenData" class="mention hashtag" rel="tag">#OpenData</a> <a href="https://framapiaf.org/tags/LicenceOuverte" class="mention hashtag" rel="tag">#LicenceOuverte</a><a href="https://www.ign.fr/sites/default/files/2020-12/cp_gratuite_donnees_2020.pdf" target="_blank" rel="nofollow noopener noreferrer" translate="no">https://www.ign.fr/sites/default/files/2020-12/cp_gratuite_donnees_2020.pdf</a>

Ludovic DubostAvec une collaboration avec @OSM_FR@twitter.com cela serait encore mieux !RT @SylvainLatarget@twitter.comFier d'annoncer qu'au 1er janvier 2021, toutes les <a href="https://framapiaf.org/tags/Donn%C3%A9esPubliques" class="mention hashtag" rel="tag">#DonnéesPubliques</a> de l'@IGNFrance@twitter.com seront libres et accessibles gratuitement en <a href="https://framapiaf.org/tags/LicenceOuverte" class="mention hashtag" rel="tag">#LicenceOuverte</a> Etalab 2.0 ! <a href="https://framapiaf.org/tags/OpenData" class="mention hashtag" rel="tag">#OpenData</a>🐦🔗: <a href="https://twitter.com/SylvainLatarget/status/1337304477867630594" target="_blank" rel="nofollow noopener noreferrer" translate="no">https://twitter.com/SylvainLatarget/status/1337304477867630594</a>

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