« depuis le début de ses recherches sur le site en 2012, [Maïté Rivollat] et son équipe d’archéo-généticiens ont mis au jour le génome complet de 94 individus. Ils découvrent alors que ceux-ci forment deux "pedigrees", c’est-à-dire deux grandes familles sur 5 à 7 générations. »
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« Il est frappant de constater que les femmes adultes ne sont pas affiliées à cette lignée, cela décrit un système de résidence patrilocales (lorsque la résidence du couple est déterminée par celle du mari) et une exogamie féminine »
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