Extraits traduits de : https://mindfreedom.org/kb/antidepressantsnixlove/
(Avec modification pour inclure les adelphes polya)
((Certains paragraphes n'ont pas été traduits car trop allosexuels))
(((Rappel que la jeunesse emmerde les psychanalystes et autres psys en tout genre, APAB)))
((((Rappel que non les antiD ne sauvent personnes))))
Le premier élan de l'amour est une folie privée entre deux personnes ou pluss, dévorante et, si elle est ressentie mutuellement, merveilleuse à l'infini.
Les amoureuxes pensent à/aux l'autre/s de manière obsessionnelle - sur les montagnes russes de l'euphorie lorsqu'iels sont ensemble, de la nostalgie lorsqu'iels sont séparé.y.e.s.
Aujourd'hui, grâce à ses études sur les cerveaux des amoureuxes dans les affres de la dégringolade initiale, Fisher a élaboré une théorie controversée.
Avec son collaborateur, le psychiatre J. Anderson Thomson de l'université de Virginie, elle pense que le Prozac, le Zoloft, le Paxil et d'autres antidépresseurs modifient la chimie du cerveau de manière à atténuer l'intensité de l'amour naissant.
Fisher et Thomson, qui décrivent leur théorie dans un chapitre du livre "Evolutionary Cognitive Neuroscience", ne parlent pas seulement de la capacité notoire de ces médicaments à freiner le désir et les performances sexuels, bien qu'iels pensent que cela joue un rôle.
Iels pensent que les drogues sapent également le désir de partenaire.s, voire la capacité même du cerveau à tomber amoureux.
Et ce serait une mauvaise nouvelle, étant donné l'usage répandu des antidépresseurs dans ce pays ([Etats-Unis, usage des antiD beaucoup moins répandu qu'en france]) - environ 10 % des femmes adultes et 4 % des hommes adultes prennent ces médicaments, selon un rapport de 2004 du Centre national des statistiques de santé des Centres de contrôle et de prévention des maladies.
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Prozac entering waterways is changing how fish behave and reproduce, study says
