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Un des trucs les plus moches des luttes sociales "dures" c'est les feux de pneus continus.
C'est quoi le symbole ?
Est-ce que le désespoir social justifie tout, y compris brûler n'importe quel truc toxique, en continu pendant des jours, en lisière des quartiers résidentiels ?
Et puis cette fascination des flammes et des fumées, ça me paraît toxique dans tous les sens du terme.
@Monolecte@framapiaf.orgPareil !
Aujourd’hui, la lutte, c’est planter des arbres qui serviront à nous rafraichir l’été et pas à nourrir l’industrie du bois. C’est réquisitionner des communs pour y faire pousser du collectif.
C’est faire chier les bourgeois dans leur bunker, pas d’empoisonner les riverains des zones indus qui sont souvent d’autres prolos exploités ou des Voyageurs.
Bref, faut évoluer, les #luttes & #Syndicats
@Monolecte @Gallorum l'avantage de planter des arbres sur les piquets de grève ou en manif, plutôt que de brûler des pneu, des poubelles ou des palettes, c'est que ça participe à la dé-bitumisation des lieux de vie. L'inconvénient, c'est qu'il faut plus de matos, des arbres et un peu de savoir faire.
@Monolecte @Gallorum accessoirement, on risque un petit tour au trib pour dégradation volontaire d'infrastructures publiques ou privées et eco-terrorisme radical islamo-gauchiste woke. Peut-être même une excommunication républicaine.
Sans préjuger de la pérennité des plantations au milieu de la rue / du parking.
Si on plante des salades ou des poireaux sur les lignes blanches ou les pointillés, ça doit le faire, c'est moins dangereux pour les usagers qu'un frêne de 3m de haut.
@Monolecte
C'est clair que c'est aussi des zones de relégation des gens du voyage.