J'ai recommencé #MaxPayne3, auquel j'avais moyennement accroché à l'époque et le verdict est le même : trop de cut-scenes. Tout le temps. Impossible de faire 20 mètres sans que le jeu ne reprenne la main pour faire jacasser Max. Il parle encore plus que dans les deux précédents.
On sent bien que ce n'est plus Remedy aux commandes mais Rockstrar...
Sans parler du fait que le jeu est devenu un cover shooter où on fait caca derrière des caisses...
Sans parler de l'image qui est criblée de glitchs façon mauvaise réception analogique / VHS pétée toutes les 30 secondes...
Et puis pour l'instant le jeu manque clairement de méchant mafieux charismatiques ou de femmes fatales.
Par contre je râle, je râle, mais la feeling des armes et de leur impact est quand même chouette. Et puis pour un jeu de 2012 il tient encore pas mal la barre graphiquement.
Et une séquence de rail shooter, bien sur !
Le manque d'ombre casse un peu ma suspension d'incrédulité déjà bien entamée par les cinématiques intempestives.
@Yahiko
"Max Payne"
"Max Payne"
Je ne connais pas, mais ne l’entends dire que de Kamel Debbiche.
Ou Karim Debbache, je ne sais plus.
@Yahiko
Ça casse pas trois pattes à un canard, et ça ne vaut vraiment pas les graphismes d’Undertale…
@Aznorth Carrément. Les gros studios ont beaucoup à apprendre.
@Yahiko Dans le genre 1H00 de cinématique pour 02 minutes de gameplay, la série des Yakuza se pose là.
@Crayon_Laser Jamais fait.
Dans le genre il y a les jeux de Quantic Dream, mais c'est assumé.
@Yahiko Le grand méchant du jeu, c'est le whisky.
@Crayon_Laser Certes. Et la dépression.